L'affaire Nasrawin contre Unesco dans le journal Le Monde


Le journal français «  Le Monde » révèle la position de M.Nasrawin, qui accuse l'ancien Directeur général de l'UNESCO, M.Matsuura d'avoir falsifié un tableau budgétaire et d'avoir produit un faux et usage de faux, afin de l'évincer de cette manière illégale et frauduleuse de son travail.

L'actuelle Directrice générale de l'UNESCO, Mme.Bokova fait tout pour couvrir ce scandale, commis par son prédécesseur et qui engage d'une manière directe aujourd'hui  sa responsabilité juridique et morale.


Le  journal français  « Le monde »dans son article sur l'affaire Nasrawin en date du 2 octobre 2012,a relaté la position de M.Adnan Nasrawin,ancien membre du Personnel,ancien  fonctionnaire à l'UNESCO, qui accuse l'UNESCO ( son ancien Directeur général M.Matsuura ) d'avoir falsifié un tableau budgétaire et d'avoir produit un faux et usage de faux,afin de l'évincer de son travail de l'Organisation sous prétexte que son poste personnalisé n'était pas budgété dans le budget de l'UNESCO pour le Biennium 2000/2001.

A travers cet article du journal Le Monde, l'opinion publique internationale est au courant de cette accusation très grave de M.Nasrawin contre l'UNESCO.


Adnan Nasrawin a relaté en détail au chapitre XI ,aux paragraphes 13 à 52 de son livre, intitulé  « Mon combat contre l'injustice de l'UNESCO et du Tribunal administratif de l'OIT », dont il a fini sa rédaction au mois de mai 2012,cinq preuves matérielles et déterminantes,qui montrent d'une manière qui ne laisse aucun doute  que l'ancien Directeur général des l'UNESCO,M.Matsuura  et son office des affaires juridiques ont bien  falsifié sciemment un tableau budgétaire de l'UNESCO du 30 C/5 et produit un faux et usage de faux à sa place ( Production 24 a ),avec dissimulation fraudueluse de 5 preuves, afin de l'évincer d'une manière illégale et frauduleuse de son travail, sous prétexte que son poste personnalisé n'était pas budgété dans le budget de l'UNESCO.

N.B. Le tableau budgétaire falsifié produit par M.Matsuura ( Production 24 a ),se trouve dans les annexes à la fin du livre de M.Nasrawin)



Fait nouveau:

L'ancien Directeur général M.Mayor, auteur du budget de l'UNESCO du 30 C/5 apporte dans son mémoire qu'il a adressé à l'actuelle Directrice générale de l'UNESCO, MMe.Bokova le 3 février 2012, concernant l'affaire Nasrawin les faits nouveaux essentiels avec 5 preuves matérielles et déterminantes ci-dessous,qui montrent que le tableau budgétaire ( production 24 a ),produit par son successeur,M.Matsuura, pour évincer M.Nasrawin de son travail était falsifié ,faux et usage de faux:


a ) M.Mayor a révélé dans son mémoire qu'il a adressé le 3 février 2012, à l'actuelle Directrice générale,Mme.Bokova,concernant l'affaire Nasrawin ( Voir  P.J.No.XI à la fin du livre de M.Nasrawin),que c'était lui en sa qualité de Directeur général en exercice ,qui a établi le budget de l'UNESCO du 30 C/5 pour le Biennium 2000/2001


b ) M.Mayor a révélé qu'il a bien établi le poste personnalisé de M.Nasrawin,dans le budget de l'UNESCO du 30 C/5 pour le Biennium 2000/2001,comme les autres fonctionnaires de l'Organisation.


C ) M.Mayor a produit dans son mémoire les 5 mémos ,qu'il a établis pendant qu'il était en fonction,qui confirment qu'il a bien établi le poste personnalisé de M.Nasrawin dans le budget de l'UNESCO du 30 C/5 ,pour le  Biennium 2000/2001

Le Directeur général Mayor a écrit dans on mémoire à Mme.Bokova du 3 février 2012 ce qui suit: «  Les cinq mémos établis par moi-même attestent que j'ai budgété le poste personnalisé de M.Nasrawin dans le budget du 30 C/5 pour le Biennium 2000/2001 »

( Voir la liste de ces 5 mémos dans la P.J.No.V,à la fin du livre de M.Nasrawin )


Le tableau budgétaire ( Production 24 a ) ,qu' a produit M.Matssura,comme preuve pour évincer M.Nasrawin de son travail  était un faux grossier

Ce qui précède révèle donc que le tableau budgétaire ( Production 24 a )  ,qu'a produit M.Matsuura ,pour évincer M;Nasrawin de son travail de l'UNESCO,sous prétexte que son poste personnalisé n'était pas budgété,dans le budget de l'UNESCO du 30 C/5, était un faux grossier,puisque M.Mayor,en sa qualité d'auteur de ce  budget de l'UNESCO du 30 C/5 pour le Biennium 2000/2001, a affirmé clairement  en citant,comme preuves les  cinq mémos qu'il a lui-même établis ,qu'il a bien établi le  poste personnalisé de M.Nasrawin  dans ce budget de l'UNESCO pour le Biennium ,comme tous les autres fonctionnaires de l'Organisation.


Mme.Bokova a couvert et validé par son silence ce scandale de son prédécesseur, M.Matssura dans l'affaire Nasrawin. Elle est aussi coupable de ce scandale.

M.Nasrawin considère que Mme.Bokova est entièrement responsable de ce scandale de falsification d'un tableau budgétaire ,de la production d'un faux et usage de faux d'un de faux et usage de faux ,commis par son prédécesseur, M.Matsuura dans l'exercice de ses fonctions.

Ce qui aggrave la responsabilité de l'actuelle Directrice générale, Mme.Bokova c'est qu'elle a couvert ce scandale par son silence. Le silence sur le scandale participe à ce scandale .Qui ne dit mot consent.


Mme.Bokova doit rendre compte de ce scandale, qui salit l'image de l'UNESCO, devant un audit international de vérité et de justice

La décision de M.Matsuura d'évincer M.Nasrawin de son travail était fondée sur un tableau budgétaire falsifiéé , sur un faux et usage de faux avec dissimulation de cinq mémos preuves.

M.Nasrawin demande l'annulation de la décision de l'UNESCO de l'évincer de son travail qui était fondée sur ce scandale.

Il est à rappeler qu'en France, pays hôte du Siège de l'UNESCO, ce scandale de faux et usage de faux, aggravé par l'abus de pouvoir est puni de 5 ans de prison ferme et de 225.000 euros d'amende.



Le Tribunal  administratif de l'OIT a validé ce scandale de falsification, de produiction d'un faux et usage de faux  commis par l'UNESCO dans l'affaire Nasrawin.

Aussi incroyable que cela puisse paraitre, alors que Adnan Nasrawin a dénoncé le scandale de la falsification et de la production d'un faux et usage de faux,commis par M.Matsuura et validé par l'actuelle Directrice générale de l'UNESCO, Mme.Bokova, le Tribunal administratif  de l’OIT n’a pas chercher à établir sa véracité dans ses jugements.

En passant sous silence cette accusation très grave, le Tribunal de l’OIT prouve qu’il était complice avec l'UNESCO et qu'il était  à sa solde dans l' affaire Nasrawin. Le silence du Tribunal sur ce scandale ,constitue bien une participation active à ce scandale

Le résumé de l'affaire sur Unesco-Scandal.com

Notre nouveau site Internet est disponible à l'adresse : http://www.unesco-scandal.com

La première page contient un résumé de l'affaire et explique comment vous pouvez nous aider à faire éclater la vérité. L'Unesco et l'OIT ne sont pas au-dessus du droit international et ces deux organisations doivent répondre de leurs actes.

Merci de votre soutien.

Federico Mayor demande justice pour M. Nasrawin à Madame Bokova


Madrid,  le 3 Février 2012



Madame la Directrice générale,



Je m’adresse à vous à propos du cas d’un de mes anciens collaborateurs, Monsieur Adnan NASRAWIN, de nationalité franco-jordanienne, qui s’est investi à mes cotés, à l’UNESCO, avec beaucoup de compétence et de dévouement, au service de la culture de la paix.



La nomination de M. Nasrawin n’a été pas reconnue par de l'administration de mon successeur, qui a abouti à l'évincer  à l'âge de 51 ans d'une manière illégale  de son travail de l'UNESCO après mon départ alors qu'il a été nommé par moi à l'UNESCO depuis 1997 et à un poste établi par mon mémorandum du 9 juin 1999 ( annexe 1 ),qu'il a eu le droit de revendiquer jusqu'au mois de décembre 2010.



M. Nasrawin vous a adressé au mois de décembre dernier le texte d'un « livre » qu'il a rédigé, avec tous les faits et documents à l'appui sur son affaire avec l'UNESCO et le Tribunal administratif de l'OIT.



Au chapitre I de son livre , M. Nasrawin a relaté en détail les 8 résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU, qui ont été votées à l'unanimité par les  Etats membres ,entre 1996 et le 6 octobre 1999. Ces huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU, comme vous le savez  ont confié depuis 1996 à l'UNESCO et à moi-même, avec l'aval officiel du Secrétaire général de l'ONU, le mandat de la culture de la paix, qui se perpétue jusqu'au mois de décembre 2010, avec l'accord de la Conférence générale et du  Conseil exécutif de l'UNESCO.



Les 11 mémos du dossier M. Nasrawin, relatés en détail dans l'ordre chronologique, dans son livre au chapitre III, aux paragraphes 1 à 19, avec documents officiels de l'UNESCO à l'appui, révèlent que j'ai fait appel à sa collaboration de M. Nasrawin pour travailler à mes côtés dans le cadre de la culture de la paix.



Comme le révèle M. Nasrawin, au chapitre III de son livre, aux paragraphes 1 à 4 , je l'ai nommé en 1997 à un poste de consultant avec mes promesses fermes et effectives qu'il aura ce poste et un travail continu jusqu'en 2010 dans le cadre du mandat onusien. Comme vous le savez, au nom du principe de la continuité de la fonction publique internationale et au nom du mandat concernant la culture de la paix, qui se perpétue jusqu'en 2010, j’avais le droit de faire telles promesses à M. Nasrawin , qui lient l'Organisation.



En 1998, comme M. Nasrawin a donné entière satisfaction dans son travail, je l'ai  nommé à partir du 1er janvier 1998 à un poste temporaire, membre du Personnel de l'UNESCO ( Voir au chapitre III, aux paragraphes 1 à 4 du livre de M. Nasrawin )



Par mon mémorandum du 9 juin 1999 (annexe 1), j'ai pris ma décision officielle de nommer M. Nasrawin à un poste établi pour qu'il continue l'excellent travail dans le respect du Statut du Personnel et des formes de procédure. Ma nomination, comme le révèlent ces mémos, était faite avec l'accord  des responsables des secteurs concernés et même sur leurs propositions.

(Voir chapitres III,  IV  et V du livre de M. Nasrawin).



Cinq mémos établis par moi-même et par les fonctions mes respectifs attestent que j'ai budgété le poste personnalisé de M. Nasrawin au budget du 30 C/5 de l'UNESCO pour le Biennium 2000/2001



Le Conseil d'Appel de l'UNESCO du temps de mon successeur, M. Matsuura, qui a affirmé dans son avis  en date du 4 décembre 2000  concernant l’affaire Nasrawin au paragraphe 84 : «The several steps taken and memos issued leave no doubt that the decision (nomination of Mr. Nasrawin of 9/6/1999)had to be implemented »



Je soutiens donc les faits et documents à l'appui qu'a révélés M. Nasrawin au chapitres VI et VII de son livre ,qui confirment que ma décision de le nommer à l'UNESCO depuis 1997 et à un poste établi le 9 juin 1999 et son droit de revendiquer un poste établi et un travail continu à l'UNESCO du 9 juin 1999 jusqu'en 2010, dans le cadre du mandat de l’ONU sur la culture de la paix  étaient légitimes et dans l'intérêt de l'UNESCO.



Comme le révèle M. Nasrawin aux chapitres IX à XXI  de son livre, l'administration l'a évincé de son travail après mon départ d'une manière in juste, illégale et arbitraire, sans prendre en considération les faits et les documents, que je vous ai exposés en résumé ci-dessus et que M. Nasrawin a relaté en détail aux chapitre I à VIII de son livre. Comme le révèle aussi M. Nasrawin aux chapitres IX à XXI, le Tribunal administratif de l'OIT a validé cette injustice, qui a brisé sa vie et celle de sa famille, aggravée par le décès de Mme. Nasrawin le 8 septembre dernier; qui constitue un drame supplémentaire pour M. Nasrawin et ses quatre enfants. Il est donc de mon  devoir de m'adresser à vous, vous priant que M. Nasrawin soit reçue dans votre cabinet et on procède à la réouverture rapide de son dossier.



Je vous prie de croire Madame la Directrice générale à ma plus haute considération.

Federico Mayor

Le Canard Enchaîné dénonce l'injustice de l'Unesco et les jugements "étranges" de l'OIT dans l'affaire Nasrawin


L'article du Canard Enchaîné du 13 juin 2012  sur l'affaire Nasrawin /UNESCO/Tribunal administratif de l'OIT (cliquez sur l'article pour le lire)


Cliquez sur la photo pour lire l'article du Canard Enchaîné sur l'affaire Nasrawin contre Unesco


Le journal français «  Le Canard Enchaîné »  en date du 13 juin 2012 relate  avec précision et pertinence le combat juste et persévérant que mène Adnan Nasrawin afin de faire valoir ses droits en commençant son article par cette phrase:  « Voilà plus de douze ans qu'Adnan Nasrawin, citoyen franco-jordanien, tente de faire réparer une injustice commise par l'UNESCO, qui a saccagé sa vie. ».

Le journal français évoque ainsi toute la légalité et la légitimité juridique de la nomination de Adnan Nasrawin à l'UNESCO en précisant qu'il a été recruté par le Directeur général de l'UNESCO de l'époque, l'Espagnol Federico Mayor, pour travailler dans le cadre du mandat onusien de la culture de la paix qui a été confié à l'UNESCO et à M. Mayor en sa qualité de Directeur général en exercice de l'Organisation, par les 8 résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU et qui s'est perpétué jusqu'au mois de décembre 2010 : «  Jusqu'en octobre 1999, l'UNESCO est dirigée par l'Espagnol Federico Mayor qui  met alors la dernière main à l'organisation d'une campagne de promotion de la "culture de la paix" dans le monde. Pour cela il a recruté Nasrawin. La campagne doit se dérouler jusqu'en décembre 2010. ».

Le journal révèle clairement que le successeur de Mayor, le Japonais Matsuura a été à l'origine de l'éviction « brutale » de M. Nasrawin sous prétexte que le Directeur général voulait « caser d'autres collaborateurs ».

Le Canard Enchaîné a dénoncé les jugements du Tribunal administratif de l'OIT concernant l'affaire Nasrawin et les a qualifié « d'étranges ». Il a en outre précisé que ces jugements étaient  fondés sur l'omission des nombreux documents clés du dossier, qui prouvent la nomination incontestable de M. Nasrawin. Le journal n'oublie d'ailleurs pas de faire mention du fait que les mêmes juges ont jugé les trois jugements : « Nasrawin a été débouté à trois reprises par le Tribunal.  Les motifs invoqués par les juges (toujours les mêmes) : il n' y a pas de pièces prouvant son embauche. ».

Et le journal Français d'ajouter dans son  style satirique : «  Normal : les juges ont omis de prendre en compte de nombreux documents (mémorandums), pourtant fournis par le plaignant qui l'attestent sans aucune ambiguïté . Ils sont signés de Mayor lui-même et de plusieurs hauts fonctionnaires de l'UNESCO, qui certifient le recrutement et précisément la ligne budgétaire correspondante. ».

Le journal invoque les interventions du Directeur général Mayor auprès de l'actuelle Directrice générale, Mme.Bokova, pour défendre sa décision légale et légitime de nommer Nasrawin, et pour  dénoncer la décision de son éviction après son départ à l'issue de ses deux mandats: « En 2001 et en février 2012, Federico Mayor écrit à la nouvelle Directrice de l'UNESCO pour exprimer son incompréhension et réaffirmer la validé de sa décision. ».

L'hebdomadaire tourne en ridicule la posture adoptée par la Directrice générale de l'UNESCO en exercice en écrivant : « L'actuelle Directrice de l'UNESCO, dans sa réponse à son prédécesseur Mayor, concernant l'affaire Nasrawin, s'abrite derrière le jugement (étrange) des magistrats.».


Cet article dans le Canard Enchaîné résume les faits de l'affaire Nasrawin contre Unesco. D'une nomination claire et dans les règles de M. Nasrawin par le Directeur général Mayor, l'affaire s'est transformée sous le mandat du Directeur général Matsuura en masquerade juridique impliquant l'Unesco et l'OIT. Les jugements émis par le Tribunal de l'OIT sont, pour le moins que l'on puisse dire, "étranges", d'autant plus que les juges ont omis les documents clés du dossier pour se calquer sur la position défendue par l'Unesco. 

Aujourd'hui, la Directrice générale Bokova maintient une position absurde en refusant de prendre ses responsabilités. Elle est pourtant au coeur de l'affaire puisqu'elle représente l'Unesco aussi bien pour les affaires d'aujourd'hui que pour les affaires passées. En s'abritant derrière le comportement frauduleux de l'ancienne administration et des jugements de l'OIT, elle cautionne directement tous les scandales évoqués sur ce site, aussi bien l'omission des documents que la falsification de document officiel, le faux et usage de faux devant le Tribunal de l'OIT, la manipulation du Statut du Personnel de l'Unesco ainsi que de nombreuses fraudes.









L'UNESCO accusée de comportement discriminatoire, aggravé de falsification, de manipulation et violation de sa Constitution



M. Adnan Nasrawin,de nationalité française,a été victime d'une discrimination scandaleuse à son encontre,devant l'emploi dans la fonction publique internationale à l'UNESCO.


M.Nasrawin accuse le Directeur général de l'UNESCO, M.Matsuura d'avoir abusé gravement de ses fonctions,d'avoir falsifié,manipulé et violé sciemment l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO ( sa Constitution) en lui donnant une interprétation discriminatoire dans le but délibéré de l'évincer de cette manière scandaleuse de son travail de l'Organisation.


L'actuelle Directrice générale de l'UNESCO,Mme.Irina Bokova, a toujours refusé de regarder en face la vérité du comportement scandaleux et immoral de son prédécesseur, M.Matsuura dans l'affaire Nasrawin.


Le Tribunal administratif de l'OIT dans l'affaire Nasrawin s'en est tenu à la seule interprétation discriminatoire de l'UNESCO à l'article 4.3.2 du Statut du Personnel,ce qui confirme sa complicité avec l'Organisation et son manque d'équité, d'impartialité et d'indépendance dans cette affaire .


Du point de vue juridique et morale la Directrice générale de l'UNESCO,Mme.Bokova ne peut d'aucune manière se cacher derrière le Tribunal administratif de l'OIT,pour se dérober à sa responsabilité juridique et morale dans ce scandale commis par son prédécesseur,dans l'exercice de ses fonctions

Les faits,documents à l'appui qui révèlent que M.Nasrawin a été nommé par le mémorandum du Directeur géénral Mayor du 9 juin 1999 ( annexe 1 ) à l'UNESCO dans le cadre de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO :
1 ) M.Nasrawin a révélé ci-dessous des faits essentiels ,documents à l'appui,confirmés par le Directeur général M.Mayor,qui confirment qu'il a été nommé par ce dernier ,en sa qualité de Directeur général en exercice de l'UNESCO,depuis 1997 et à un poste établi le 9 juin 1999 ( annexe 1 ) ,dans le cadre de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO,qui était en vigueur jusqu'au 15 novembre 1999,sans passer par la procédure normale de recrutement et sans afficher son poste .
2 ) Le successeur du Directeur général Mayor ,M.Matsuura avait reconnu les prérogatives que donnait l'article 4.3.2 au Directeur général en exercice de l'UNESCO en écrivant dans sa duplique, devant le Tribunal administratif de l’OIT, en date du 30 juillet 2001, au paragraphe 28 et en réponse à ma réplique : «  L’article 4.3.2 du Statut du Personnel donnait au Directeur général de l’UNESCO le pouvoir de décider de nommer directement un candidat ,dont le profil correspond exactement au poste sans engager le processus de recrutement ».
3 ) Le successeur du Directeur général Mayor ,M.Matsuura avait reconnu officiellement dans sa sa duplique,qu'il avait nommé le porte parole de l'UNESCO dans le cadre de l’article 4.3.2 du Statut du Personne sans passer par la procédure normale de recrutement et sans afficher son poste en affirmant.

« C’est précisément le cas du porte parole (grade D-1 )dont le Directeur général ( M.Matsuura ) a annoncé le recrutement lors d’une session du Conseil exécutif et auquel le requérant (M.Nasrawin ) se réfère dans sa Réplique  »


4 ) Le DG.de l'UNESCO,M.Matsuura a falsifié, manipulé et violé sciemment le texte et l'esprit de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO et lui a donné une interprétation discriminatoire afin d'évincer M.Nasrawin de son travail :

L'ancien Directeur général de l'UNESCO,M.Matsuura a abusé de ses fonctions et falsifié,manipulé et violé sciemment et d'une manière frauduleuse le texte et l'esprit de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO,en prétendant au paragraphe 28 de sa duplique devant le Tribunal administratif de l'OIT,dans la première partie,que les prérogatives, que donnait l’article 4.3.2 du Statut du Personnel au Directeur général concernaient uniquement la nomination : « aux postes du directeur général adjoint, sous –directeur général ,cadre administratif ou directeur ».


5 ) Dans le cadre de sa mauvaise foi et dans sa volonté déterminée de traiter M.Nasrawin d'une manière discriminatoire et de casser l'égalité de sa chance devant l'emploi dans la fonction publique interntionale ,l'ancien Directeur général M.Matsuura a prétendu au paragraphe 28 de sa duplique devant le Tribunal : «  Ni la classe du poste de M.Nasrawin ( P 4 ),ni la nature de ses fonctions ne justifiaient sa nomination dans le cadre de l’article 4.3.2 du Statut du Personnel » .


6 ) Or le texte de l'article 4.3.2. du Statut du Personnel ,qui était en vigueur jusqu'au 15 novembre 1999 affirmait clairement ce qui suit:

« Dans toute la mesure du possible ,le Personnel  est recruté par voie de concours ».


7 ) On ne trouve donc nulle part dans le texte de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO qu'il concernait uniquement ,comme l'a prétendu M.Matsuura « les postes du directeur général adjoint, sous –directeur général ,cadre administratif ou directeur ».mais le texte de cet article parle clairement du recrutement de tous les candidats au personnel sans exception de grade ou d'activités.



8 ) Donc,M.Matsuura a abusé de ses fonctions,a falsifié, manipulé et violé le texte et l'esprit de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel et lui a donné une interprétation discriminatoire,dans le but délibéré de traiter M.Nasrawin d'une manière différente et détruire son égalité de chance devant l'emploi dans la fonction publique internationale.



9 ) Le comportement de l'UNESCO à l 'encontre de M.Nasrawin constitue un acte discriminatoire et inacceptable au regard de la Convention internationale, No.111 de l'OIT concernant la discrimination (emploi et profession ) dans son article 1 b :

Il est établi donc par ce qui précède ( aux paragraphes 4 à 8 ci-dessus ) que l'interprétation erronée et discriminatoire qu'a faite l'ancien Directeur général de l'UNESCO M. Matsuura de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de ,aggravée par le scandale de sa falsification et de sa violation du texte et de l'esprit de cet article avait pour but de traiter M.Nasrawin différemment que les autres fonctionnaires,afin de détruire son égalité de chance devant l’emploi dans la fonction publique internationale à l’UNESCO.


10 ) Ce comportement discriminatoire du Directeur général de l'UNESCO,M.Matsuura tombe sous le coup de la dénonciation comme discriminatoire entendue au sens de l’article 1 b de la Convention N0.111 de l’OIT ,qui dit clairement :

«  Aux fins de la présente Convention le terme « discriminatoire » comprend toute autre distinction , exclusion ou préférence ayant pour effet de détruire ou d’altérer l’égalité des chances en matière d’emploi ou de profession ».



11 ) Le Président du Syndicat du Personnel de l'UNESCO,la Ligue des droits de l'homme en France et l'ancien Directeur général de l'UNESCO M.Mayor,qui a nommé M.Nasrawin le 9 juin 1999 ( annexe 1 ) ont dénoncé le comportement de l'ancien DG de l'UNESCO, M.Matsuura à l'encontre de M.Nasrawin et confirmé son caractère discriminatoire au sens de l’article 1 b de la Convention N0.111 de l’OIT:




12 ) L'ancien Directeur général de l'UNESCO M.Matsuura a porté atteinte à travers l'affaire Nasrawin à l'honneur des Etats membres de l'organisation. Il a violé les articles 1 et 23 de la Déclaration universelle des droits de l'homme:





Confirmant sa partialité et sa complicité avec l'UNESCO dans l'affaire Nasrawin:

13 ) Le Tribunal administratif de l'OIT a adopté d'une manière totale,sans scrupules et en toute impunité, le comportement discriminatoire de l'ancien Directeur général M.Matsuura à l'encontre de M.Nasrawin devant l'emploi dans la fonction publique internationale.

Le Tribunal a fermé les yeux sur le scandale de falsification,de manipulation et de violation du texte et de l'esprit de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO,commis par le même M.Matsuura pour faire passer son comportement discriminatoire.

Le silence du Tribunal sur ce scandale,participe à ce scandale.




14 ) Le Tribunal administratif de l'OIT a montré à travers l'affaire Nasrawin,qu'il était déloyal envers l'OIT dont il est l'organe judiciaire,dans le seul but de valider le comportement discriminatoire de l'UNESCO :

M.Nasrawin a révélé aux paragraphes 9 à 11 ci-dessus que le comportement abusif de l'UNESCO à son encontre devant l'emploi dans la fonction publique internationale était reconnu comme discriminatoire au sens de l'article 1 b de la Convention Internationale de l'OIT No.111.
Comme M.Nasrawin a révélé au paragraphe 13 ci-dessus que le Tribunal administratif de l'OIT a adopté et validé le comportement discriminatoire de l'UNESCO,qui a été reconnu discriminatoire au sens de l'article 1 b de la Convention Internationale de l'OIT No.111,donc il a été déloyal envers l'Organisation internationale du Travail ( OIT ),dont il est l'organe judiciaire ,dans le but de valider le scandale de comportement discriminatoire de l'UNESCO .
Cette déloyauté s'explique par la complicité du Tribunal avec l'UNESCO et qu'il était prêt à faire n'importe quoi pour le valider
Cette déloyauté entame la crédibilité et l'indépendance du Tribunal dans l'affaire Nasrawin


15 ) La responsabilité juridique et morale directe et totale de l'actuelle Directrice générale de l'UNESCO,Mme.Irina Bokova est engagée dans ce scandale.

Mme.Bokova est devant sa responsabilité de faire toute la lumière sur ce scandale immoral et inacceptable de son prédécesseur:


L'ancien Directeur général de l'UNESCO,M.Matsuura a commis le scandale de comportement discriminatoire à l'encontre de M.Nasrawin devant l'emploi dans la fonction publique internationale,aggravé par le scandale de falsification,de manipulation et de violation du Statut du Personnel ( la Constitution ) de l'UNESCO,dans l'exercice ses fonctions officielles,.

La responsabilité juridique et morale de l'actuelle Directrice générale, Mme.Bokova est engagée d'une manière directe et totale dans ce scandale.


M.Nasrawin est tout à fait dans son droit de demander à l'actuelle Directrice générale de l'UNESCO de faire toute la lumière sur ce scandale: Déterminer les personnes qui sont derrière ce scandale à l'intérieur de l'UNESCO et dire pour quoi le Tribunal administratif de l'OIT a validé sans scrupule et en toute impunité ce scandale commis par son prédécesseur dans l'exercice de ses fonctions.




16 ) Du point de vue juridique et morale la Directrice générale de l'UNESCO,Mme.Bokova ne peut d'aucune manière se cacher derrière le Tribunal administratif de l'OIT,pour se dérober à sa responsabilité juridique et morale dans ce scandale commis par son prédécesseur,dans l'exercice de ses fonctions :


L'actuelle Directrice générale de l'UNESCO,Mme.Bokova ne peut pas du point de vue juridique et morale se cacher derrière le Tribunal pour faire avaliser ce scandale,puisque la complicité manifeste et totale de ce Tribunal avec son prédécesseur ,M.Matsuura est établie au mépris de tous les standards de la justice ,de l'équité ,de l'impartialité et de l'indépendance de ce Tribunal. ( Voir aux paragraphes 13 et 14 ci-dessus )


Il en va dans l'affaire Nasrawin de la crédibilité et de l'honneur de l'UNESCO,que l'ancien Directeur général,M.Matsuura a transformé à travers l'affaire Nasrawin en une Organisation du système des Nations Unies ,qui a eu recours au comportement discriminatoire devant l'emploi dans la fonction publique internationale,aggravé par le scandale de falsification,de manipulation et de violation de son Statut du Personnel



Il en va à travers l'affaire Nasrawin de l'honneur des Etats membres de l'UNESCO,qui ont établi son Statut et qui sont les garants de son respect.

FLASH : les prochaines publications de scandale demain sur le site


Un précédent dans les annales de l'UNESCO... le scandale des pratiques discriminatoires devant l'emploi dans la fonction publique internationale à l'intérieur de l'Organisation, à l'encontre de M.Nasrawin, avec manipulation de son Statut du Personnel afin de faire passer ce comportement.

Le Tribunal administratif de l'OIT a adopté ce comportement erroné et discriminatoire de l'UNESCO dans l'affaire Nasrawin.


Attendez demain la publication sur ce site des faits, documents à l'appui, qui révèlent que l'ancien Directeur général, M.Matsuura, a transformé l'UNESCO, à travers l'affaire Nasrawin, en une Organisation du système des Nations Unies qui a eu recours à un comportement discriminatoire grossier et inacceptable à l'encontre de ce dernier devant l'emploi dans la fonction publique internationale.


M.Matsuura, dans un précédent dangereux dans les annales de l'UNESCO et des Organisation du système des Nations Unies, a abusé d'une manière illégale et immorale de ses fonctions, comme Directeur général en exercice de l'Organisation pour manipuler le texte et le contenu de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO et lui a donné une interprétation discriminatoire hors de son texte, hors de son contexte et hors de son contenu,dans le but délibéré de faire passer son comportement discriminatoire à l'encontre de M.Nasrawin et l'évincer de son travail de cette manière illégale et inacceptable.

Le Tribunal administratif de l'OIT a adopté dans l'affaire Nasrawin la manipulation erronée et discriminatoire qu'a faite l'ancien Directeur général de l'UNESCO, M.Matsuura, ce qui en dit beaucoup sur la complicité de ce Tribunal avec l'UNESCO et son manque d'impartialité dans cette affaire Nasrawin.

Devant ce scandale de manipulation inacceptable de l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO, M.Nasrawin en appelle à la responsabilité juridique et morale des Etats membres de l'UNESCO, qui ont établi ce Statut du Personnel et qui sont les garants de son respect.

Tous les détails concernant ce scandale demain sur ce site


Adnan Nasrawin



Lettre ouverte à Irina BOKOVA, Directrice générale de l'UNESCO






Irina Bokova, Directrice générale de l'UNESCO


Par Adnan Nasrawin

Crier la vérité pour que vivent l'UNESCO et la justice du Tribunal administratif de l'OIT

Madame la Directrice générale,

Depuis le 8 décembre 2011, je vous ai adressé plusieurs courriers dans lesquels j'ai révélé les différents scandales, dérives juridiques et morales, violations des droits de l'Homme et des valeurs de l'UNESCO, commis dans mon affaire par votre prédécesseur, M.Matsuura, dans l'exercice de ses fonctions.

J'ai également relaté ces faits dans les différents chapitres de mon livre «Mon combat contre l'injustice de l'UNESCO et du Tribunal administratif de l'OIT » dont j'ai terminé la rédaction au mois de décembre 2011 et une copie vous a été envoyée le 8 décembre 2011. Ce livre sera publié au début du mois de juin prochain à Paris.

Malgré la gravité de ces scandales, qui ternissent l'image de l'UNESCO et qui ont abouti à m'évincer de mon travail d'une manière illégale, frauduleuse, inacceptable, et brisé à jamais ma vie et celle de ma famille, vous avez toujours ignoré mes appels vous demandant de faire toute la lumière sur le comportement de votre prédécesseur, M.Matsuura et sur les fraudes qu'il a commises dans mon affaire, dans l'exercice de ses fonctions, et qui engagent aujourd'hui d'une manière directe et totale votre responsabilité juridique et morale.

Suite à votre refus délibéré de faire éclater la vérité sur les agissements votre prédécesseur, qui a bafoué toutes les règles des Nations Unies et de l'éthique de toutes les Organisations onusiennes, j'ai décidé de m'adresser à vous, aux Etats membres, aux contribuables dans ces Etats membres qui financent l'UNESCO avec leur argent, à l'opinion publique internationale, et à tous les hommes et à toutes les femmes de bonne volonté qui croient en les valeurs de l'UNESCO, pour leur montrer la vérité de mon affaire et la vérité amère de tous les scandales et violations des droits de l'Homme commis par la précédente administration de votre Organisation, et que vous avez validés par la lettre expéditive que vous m'avez adressée le 27 janvier 2012 .

J'ai la ferme volonté de révéler haut et fort tous les faits, documents à l'appui, qui montrent la complicité manifeste entre le Tribunal administratif de l'OIT et votre prédécesseur, M.Matsuura, notamment son instrumentalisation inadmissible du Tribunal pour faire passer son mensonge et se dérober à ses responsabilités dans mon affaire.


La vérité du lien de mon affaire avec la légitimité de huit résolutions de l'ONU:

La première vérité que je voudrais affirmer est que mon affaire avec l'UNESCO est toujours d'actualité car elle est liée depuis mon entrée à l'UNESCO en 1997, d'une manière inséparable, dans tout les sens du terme, à la légitimité internationale de huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU et de leur mandat onusien de la culture de la paix, confié à l'UNESCO depuis 1996.

Ces huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU ont été votées à l'unanimité par les Etats membres entre 1996 et le 6 octobre 1999 (période pendant laquelle M.Mayor était Directeur général de l'UNESCO).

Ces huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU, avec l'accord total de la Conférence générale et  du Conseil exécutif de l'UNESCO, ont confié depuis 1996 à l'UNESCO et à M.Mayor, comme son Directeur général en exercice, le mandat onusien des missions de la culture de la paix, qui s'est perpétué jusqu'au mois de décembre 2010.


Dans son mémoire de vérité, en date du 10 janvier 2008, qu'il a établi concernant mon affaire avec l'UNESCO, le Directeur général Mayor a affirmé au paragraphe 7 :

«J’ai fait appel en 1997 à la collaboration de M.Nasrawin pour travailler dans le cadre de ce mandat des missions de la culture de la paix, qui se prolonge jusqu’en 2010, avec mes promesses fermes qu'il aura un poste jusqu’en 2010.»


Le Directeur général Mayor a révélé en détail dans son mémoire de vérité aux n° 8 et 9 que les huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU lui ont conféré, avec le mandat onusien de la culture de la paix, le pouvoir constitutionnel de faire telles promesses, engageant l'UNESCO, à M.Nasrawin.



La vérité de onze mémos de mon dossier :

Les 11 mémos de mon dossier, établis par le Directeur général Mayor, tels qu'ils sont relatés dans l'ordre chronologique au chapitre III, paragraphes 1 à 22 de mon livre (cliquez ici), confirment qu'il m'a nommé à un poste de consultant à l'UNESCO en 1997, à un poste temporaire, membre du Personnel de l'UNESCO en 1998 et à un poste établi par son mémorandum décisif du 9 juin 1999 (annexe 1), que j'ai le droit de revendiquer jusqu'au mois de décembre 2010 au moins, dans le cadre du mandat onusien.



Légitime, nécessaire et dans l'intérêt de l'UNESCO :

Au chapitre VII dans mon livre, j'ai relaté en détail les faits essentiels et déterminants, documents de l'UNESCO à l'appui, qui révèlent que ma nomination à l'UNESCO depuis 1997 et à un poste établi par le mémorandum du Directeur général M.Mayor du 9 juin 1999 était légitime, nécessaire et dans l'intérêt de l'UNESCO. (Cliquez ici)


Mon affaire et l'avis de la Cour internationale de Justice :

Mon droit de revendiquer un poste établi et un travail continu à l'UNESCO du 9 juin 1999 jusqu'au mois de décembre 2010, dans le cadre du mandat onusien de la culture de la paix, était et est toujours protégé par l'avis de la Cour internationale de Justice du 23 octobre 1956, qui s'applique à mon cas. (cliquez ici)


La vérité du soutien total du Directeur général M.Federico Mayor :

La vérité des faits de mon affaire, telle que je l'ai relatée ci-dessus, est soutenue d'une manière totale au nom de la justice et des valeurs de l'UNESCO par M. Federico Mayor, en sa qualité de Directeur général en exercice de l'UNESCO lors des faits de mon dossier et auteur de mes nominations successives depuis 1997 et par son mémorandum du 9 juin 1999 dans le cadre du mandat onusien de la culture de la paix.

Dans le cadre de son soutien, M.Mayor a rédigé un mémoire de vérité sur mon affaire (cliquez ici) et adressé un mémoire à son successeur, M.Matsuura, lui demandant de mettre en oeuvre sa décision me nommant à un poste établi par son mémorandum du 9 juin 1999, que j'ai le droit protégé de revendiquer jusqu'au mois de décembre 2010. 


La vérité des scandales, dérives juridiques et morales et violations des droits de l'homme commis par M.Matsuura dans mon affaire, qui ont abouti à m'évincer d'une manière illégale de mon travail :

J'ai révélé dans mon livre des faits essentiels, documents de l'UNESCO à l'appui, qui montrent que votre prédécesseur, M.Matsuura, a établi sciemment dans l'exercice de ses fonctions, un montage frauduleux et scandaleux constitutif d'abus de pouvoir aggravé, dans le but délibéré de m'évincer de mon travail de l'UNESCO.


Ce montage frauduleux monté par votre prédécesseur s'est manifesté par les scandales et dérives juridiques et morales suivants dans mon affaire que j'ai relatés en détails aux chapitres IX à XX de mon livre :

A) Le scandale de falsification d'un tableau budgétaire de l'UNESCO, la production d'un faux et usage de faux avec dissimulation de cinq mémos preuves, commis par votre prédécesseur M.Matsuura et que vous avez validé par votre lettre du 27 janvier 2012.

B)Le scandale de comportement discriminatoire de votre prédécesseur, M.Matsuura, à mon encontre devant l'emploi dans la fonction publique internationale et sa manipulation d'un article du Statut du Personnel de l'UNESCO afin de lui donner d'une manière délibérée une interprétation discriminatoire pour m'évincer de mon travail de l'Organisation.

C) Le scandale de la complicité totale de l'UNESCO avec le Tribunal administratif de l'OIT afin de fouler aux pieds tous mes droits fondamentaux, notamment mon droit de la défense et du jugement équitable. Vous avez validé ce scandale par votre silence dans votre lettre du 27 janvier 2012.

D) La complicité totale et manifeste entre votre prédécesseur, M.Matsuura, et le Tribunal pour violer, d'une manière flagrante et extrêmement grave, le Statut du Personnel de l'UNESCO dans mon affaire, avec tout ce que cela comporte comme insulte aux Etats membres de l'Organisation qui l'ont établi et qui sont les garants de la pérennité de son respect. Vous avez validé ce scandale par votre silence dans votre lettre du 27janvier 2012.

E) Le scandale de mensonge de votre prédécesseur, M.Matsuura, pour se dérober à ses responsabilités dans mon affaire et son instrumentalisation bien réfléchie du Tribunal administratif de l'OIT dans une lettre signée afin de faire passer ce scandale. Vous avez validé ce scandale par votre silence dans votre lettre du 27 janvier 2012.

F) La complicité manifeste entre l'UNESCO et le Tribunal de l'OIT dans mon affaire :

J’accuse et je dénonce, comme je le publierai plus tard sur ce site, la complicité manifeste entre l'UNESCO et le Tribunal administratif de l'OIT afin de m’évincer par tous moyens, me privant de mes droits fondamentaux, notamment mon droit à la défense et au jugement équitable, bafouant mon honneur, me privant de mon droit sacré au travail en violation de l'article 10 de la Déclaration universelle des droits de l'Homme.

Les autres scandales et dérives mentionnés aux paragraphes A à F ci-dessus suivront dans les prochaines publications sur ce site.

Dans une prochaine publication dans ce site je ferai connaître le délire judiciaire et les abus de pouvoir commis par le Tribunal administratif de l'OIT dans mon affaire, qui a bafoué tous mes droits fondamentaux, notamment mon droit de la défense et de jugement équitable, montrant ainsi sa complicité manifeste et établie avec l'UNESCO.

Madame la Directrice générale, vous vous êtes engagée lors de votre premier discours, comme Directrice générale au mois de novembre 2009 à renforcer le rôle de l'UNESCO comme conscience de l'humanité et leader des idées humanistes de la Communauté internationale en déclarant :

« En tant qu’Organisation intellectuelle,l’UNESCO, cette « conscience de l’humanité » selon les mots puissants d’un grand citoyen du monde, Jawaharlal Nehru, doit être le leader des idées humanistes de la communauté internationale ».


Madame la Directrice générale, mon intention n'est pas de discréditer l'UNESCO mais de vous demander, au nom des valeurs de l'UNESCO, conscience de l'humanité, vérité et justice en reconnaissant que j'ai bien été nommé par le Directeur général Mayor à l'UNESCO depuis 1997 et à un poste établi le 9 juin 1999, que j'ai le droit de le revendiquer jusqu'au mois de décembre 2010 au moins dans le cadre du mandat onusien de la culture de la paix.

Je vous demande aussi de réhabiliter mon honneur et de réparer tous les préjudices profonds que j'ai subis avec toute ma famille suite aux scandales et dérives juridiques et morales commis par votre prédécesseur dans mon affaire et que vous avez validés.

Je vous prie de noter que ce site sera prochainement traduit en anglais et arabe, et diffusé sur tous les médias sociaux et autres moyens d'expression.

En attendant votre réponse, je vous prie de croire, Madame la Directrice générale à ma très haute considération.


Adnan Nasrawin