Mémoire de vérité de Federico Mayor


Mémoire de vérité de Monsieur Federico Mayor, Directeur général de l’UNESCO en exercice, lors des faits du dossier Nasrawin et auteur de sa nomination à un poste établi le 9/6/1999 (Annexe 1), qui se prolonge jusqu’en 2010 :

A ) M.Nasrawin a le droit de revendiquer un poste établi à l’UNESCO qui reste toujours d’actualité de 1999 jusqu’en 2010 :

1 ) En me fondant sur mon statut de Directeur général de l’UNESCO en exercice , lors des faits du dossier Nasrawin,( entre 1997 à 1999), reconnu par le droit administratif international , qui régit la fonction publique internationale, comme « l’autorité investie du pouvoir de nomination que le Tribunal se doit de respecter ».

2 )En me fondant sur mon statut de Directeur général en exercice de l’UNESCO, investi des missions de la Culture de la Paix , qui ont été confiées depuis 1996, à l’UNESCO et à moi-même comme son Directeur général en exercice, par les résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU, avec l’engagement personnel du Secrétaire général de l’ONU, par les résolutions de la Conférence générale de l’UNESCO et de son Conseil exécutif et qui se prolongent avec l’engagement de l’actuelle administration de l’UNESCO de les respecter jusqu’en 2010.

Voir annexes 1 bis et 1 ter Voir aussi N0 9 plus loin

3 ) Dans le respect total des formes de procédure (Voir N0s.10 à 20 plus loin )
En me fondant sur les 11 mémos du dossier Nasrawin établis par moi-même, comme Directeur général en exercice et par mes subordonnés entre 1997 et 1999 , qui dans le respect total de toutes les formes de procédure, confirment que j’avais fait des promesses à M.Nasrawin , depuis que j’ai fait appel à sa collaboration en 1997 de le nommer à un poste établi , concrétisées par sa nomination à un poste établi le 9/6/1999( Annexe 1 ) , qu’il a le droit de revendiquer , comme je le montre en détails dans ce mémoire de vérité , jusqu’en 2010 dans le cadre de ces missions de la Culture de la Paix qui se prolongeront jusqu’en 2010.
Voir annexes 1 , 2 , 3 ,3 bis 4 , 5 , 6 , 7 , 8 , 9 ,


4 ) En me fondant sur l’avis du Conseil d’Appel de l’UNESCO qui après avoir examiné avec objectivité et justice l’affaire Nasrawin a affirmé dans son avis du 4/12/2000 l’existence de ces mémos 11 essentiels et déterminants dans le dossier, dans le respect des formes de procédure ,puisqu’il affirme au paragraphe 84 de son avis «The several steps taken and memos issued leave no doubt that the decision (nomination of Mr.Nasrawin of 9/6/1999) had to be implemented ».
le Conseil d’Appel de l’UNESCO avait affirmé dans son avis concernant l’affaire Nasrawin du 4/12/2000 au No.79 : « The decision (Nomination of M.Nasrawin,le 9/6/1999) is fully justified on merit and does not have a trace of any excess or improper practice »  .



5 ) La nomination de M.Nasrawin à un poste établi le 9/6/1999 ( Annexe 1 ) n’est infirmée par aucune mesure suspensive après mon départ à la fin de mes deux mandats.( Voir Annexe 49 )


Suite à tout ce qui précède je confirme à travers ce mémoire vérité les faits nouveaux suivants :

M.Nasrawin a le droit de revendiquer un poste établi à l’UNESCO , qui reste toujours d’actualité jusqu’en 2010 :

6 ) les résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU, avec l’engagement officiel du Secrétaire général de l’ONU , de la Conférence générale et du Conseil exécutif de l’UNESCO:
Le Tribunal de l’OIT, qui est un Tribunal du système judiciaire des Nations Unies,est appelé à prendre en considération le fait nouveau essentiel et déterminant suivant , concernant l’affaire Nasrwin qui confirme le droit de ce dernier de revendiquer un poste établi à l’UNESCO à partir de 1999 et qui reste toujours d’actualité Jusqu’en 2010.

Ce fait essentiel et déterminant se fonde sur la vérité qui confirme , que depuis 1996 , en tant que Directeur général en exercice de l’UNESCO , j’étais investi des missions précises, essentielles et urgentes qui ont été confiées à l’UNESCO et à moi-même comme son Directeur général en exercice, par plusieurs résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU , par l’intermédiaire du Secrétaire général de l’ONU et avec son engagement officiel, confirmées par des résolutions de la Conférence générale et du Conseil exécutif de l’UNESCO, pour préparer des rapports et mettre en application des programmes et des projets de culture de la paix qui se prolongent à travers le monde jusqu’en 2010 dans le cadre de «  la Décennie internationale de la Culture de la Paix et de la non-violence au profit des enfants dans le monde  2001 et 2010».

Voir la liste de ces résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU  , de la Conférence générale et du Conseil exécutif de l’UNESCO


7 ) Ce droit de M.Nasrawin de revendiquer un poste établi jusqu’en 2010 tire toute sa force juridique , administrative et morale du fait que « j’ai fait appel à sa collaboration en 1997 », comme Directeur général en exercice, pour travailler à l’UNESCO dans le cadre des ces missions qui se prolongeront jusqu’en 2010 à travers le monde, avec mes promesses fermes d’un poste qui se prolonge jusqu’en2010, comme le confirme la procédure de cette nomination, ci-dessous détaillée .
(Voir annexes 1et 2 bis , 7 , 7 bis , 7 ter , 9 bis et 10 bis)



8 ) Les missions qui ont été conférées à l’UNESCO et à moi-même comme son Directeur général en exercice me conféraient le pouvoir constitutionnel :
Il est bien entendu que ces missions de la Culture de la Paix me conféraient en ma qualité de Directeur général en exercice ,depuis 1996, au nom de l’Assemblée générale de l’ONU, au nom du Secrétaire général de l’ONU au nom de la Conférence générale de l’UNESCO et de son Conseil exécutif et de la légitimité internationale , le pouvoir constitutionnel de prendre toutes les démarches nécessaires pour mettre en exécutions ces missions essentielles de la Culture de la Paix à travers le monde .

En premier lieu ,ces missions me conféraient le pouvoir constitutionnel et même le devoir de nommer des fonctionnaires compétents et dévoués, comme M.Nasrawin, fonctionnaire international reconnu compétent et dévoué par mon administration , par l’actuelle administration de l’UNESCO et par le Conseil d’Appel de l’Organisation ( Voir annexes 30, 30 bis et 30 ter ) ,pour m’aider à mettre en application dans l’immédiat ces missions de la Culture de la Paix


9 ) ) ces missions me conféraient le pouvoir constitutionnel et même le devoir de faire des promesses à des fonctionnaires compétents et dévoués, comme M.Nasrawin que leurs postes se prolongeront jusqu’en 2010, pour assurer la continuité de ces missions essentielles pour notre monde, comme il a été décidé dans les résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU et de la Conférence générale de l’UNESCO et son Conseil exécutif et qui se prolongent jusqu’en 2010.


10 ) La nomination de M.Nasrawin à un poste établi le 9/6/1999 ( Annexe 1 ) dans le respect total des formes de procédure :

Après avoir été consultant en 1997 pour les programmes Culture de la Paix , j’ai nommé M.Nasrawin en 1998 à un poste temporaire , membre du Personnel de l’UNESCO , dans le cadre de ces programmes , en lui renouvelant mes promesses effectives et sûres qui n’étaient assorties d’aucune réserve, de le nommer plus tard à un poste établi , dans le cadre des missions de la Culture de la paix qui se prolongeront jusqu’en 2010 .

Voir annexes 1ter , 2 bis et 6 bis


11 ) ) Comme les mérites professionnels de M.Nasrawin au service des missions de la culture de la paix , durant les deux années 1997 et 1998, ont été reconnus très satisfaisants , dans ses notes professionnels du 30/5/1999, et pour mettre en application mes promesses que je lui ai faites depuis que « j’ai fait appel à sa collaboration en 1997 » ( Voir annexe 1 ) j’ai décidé par mon mémo du 9/6/1999 ( Annexe 1) de le nommer à un poste établi , pour qu’il puisse continuer le travail très apprécié qu’il a déjà commencé à faire depuis 1997 au service de la Culture de la Paix.

( Annexes 4, 30 , 30 bis et 30 ter ? Voir aussi annexe 1 )


12 ) Les dix autres mémos du dossier Nasrawin , établis par moi-même comme Directeur général en exercice ou par mes subordonnés, entre 1997 et 1999, confirment que mon mémo du 9/6/1999 était assorti des promesses et constitue une décision officielle , souveraine et irrévocable de nomination de M.Nasrawin à un poste établi , qui n’était infirmée par aucune mesure suspensive, après mon départ et qui est à prolonger jusqu’en 2010, dans le cadre des missions de la Culture de la Paix, confiées à l’UNESCO par les différentes résolutions internationales , mentionnées plus haut , dans les annexes 1 bis et 1 ter .


Les 11 mémos du dossier Nasrawin confirment que mon mémo du 9/6/1999 ( Annexe 1 ) était assorti des promesses et constitue une décision officielle, souveraine et irrévocable de nomination de M.Nasrawin à un poste établi , dans le respect total des formes de procédure.
Voir annexes 1 , 2 , 3 ,3 bis 4 , 5 , 6 , 7 , 8 , 9 , Voir aussi N0 3 plus haut et N0s. 14 à 20 plus bas

Le Conseil d’Appel de l’UNESCO a confirmé l’existence de ces mémos et le respect des formes de procédure.
( Voir au N0.4 plus haut).



13 ) J’ai notifié à M.Nasrawin mon mémorandum du 9/6/1999 , comme concrétisation de ces promesses, confirmant sa nomination à un poste établi.


14 ) J’ai décidé par mon mémorandum du 12/10/1999 ( Annexe 5 ),qui lui a été notifiée officiellement comme destinataire le transfert de M.Nasrawin avec son poste établi au Département de la Paix,


15 ) Ma décision de transférer M.Nasrawin au Département de la Paix ,qui était appelé à assurer la mise en application des missions confiées à l’UNESCO par les résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU jusqu’en 2010, constitue la concrétisation des promesses que je lui ai faites depuis 1997, d’avoir un poste établi jusqu’en 2010 dans le cadre de ces missions.
Je confirme aujourd’hui solennellement ces promesses.


16 ) Ma décision de transférer M.Nasrawin au Département de la Paix était prévue depuis longtemps , puisqu’il a toujours travaillé depuis son entrée à l’UNESCO, dans ce cadre.
.Le transfert n’était infirmé par aucune mesure suspensive après mon départ ( Annexe 49 )

17 ) Le droit de M.Nasrawin de revendiquer un poste établi jusqu’en 2010 est la conséquence directe et n’est pas détachable de ces missions confiées à l’UNESCO, et à moi-même comme son Directeur général en exercice, qui se prolongent jusqu’en 2010 :

Cette nomination de M.Nasrawin à un poste établi le 9/6/1999 et mes promesses qui lui ont été faites d’avoir un poste établi jusqu’en 2010, concrétisées par ma décision de le transférer avec son poste établi au Département de la Paix, le 12/10/1999 ( Annexe 5 ) , sont les conséquences directes et ne sont pas détachables de ces missions confiées à l’UNESCO, et à moi-même comme son Directeur général en exercice par les résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU, de la Conférence général de l’UNESCO et de son Conseil exécutif, qui se prolongent jusqu’en 2010 et j’avais le pouvoir constitutionnel de faire cela .
Voir aux N0s. 8 et 9 plus haut


18 ) Il est établi par les pièces du dossier et par les tâches et les missions accomplies que M.Nasrawin était recruté depuis 1997 pour travailler dans le cadre des missions de la Culture de la paix qui ont été confiées à l’UNESCO et à moi-même comme son Directeur général en exercice, qui se prolongeront jusqu’en 2010, dans le cadre de ces missions,
Voir annexes 2 bis , 7 , 7 bis , 7 ter , 9 bis et 10 bis


19) Ce droit de M.Nasrawin de revendiquer un poste établi jusqu’en 2010 est justifié par le fait que l’actuelle administration a toujours confirmé ses engagements à respecter les missions ,confiées par les résolution de l’Assemblée générale et la Conférence générale et le Conseil exécutif de l’UNESCO jusqu’en 2010
( Voir Annexes 4 bis, 5 bis , 6 bis, 6 ter et 6 quator)




20 ) Ce droit de M.Nasrawin de revendiquer un poste établi jusqu’en 2010 est justifié par ses mérites professionnels, comme fonctionnaire international compétent et dévoué. au service des missions de la Culture de la Paix , puisqu’il a toujours travaillé pour ces missions depuis son entrée à l’UNESCO  « à mon appel en 1997 »,
( Voir Annexes 30 , 30 bis et 30 ter)


21 ) Le droit de M.Nasrawin de revendiquer un poste établi jusqu’en 2010 est garanti par l’Assemblée générale de l’ONU, par l’autorité du Secrétaire général de l’ONU et par la Conférence générale de l’UNESCO et son Conseil exécutif.

Ce droit de M.Nasrawin de revendiquer un poste établi qui reste toujours d’actualité jusqu’en 2010 est garanti par conséquent par l’Assemblée générale de l’ONU, par l’autorité du Secrétaire général de l’ONU et par la Conférence générale de l’UNESCO et son Conseil exécutif, qui m’ont confiée en tant que Directeur général en exercice les missions de la Culture de la Paix qui se prolongent jusqu’en 2010 et dans le cadre des quelles « j’avais fait appel à la collaboration de M.Nasrawin  ,depuis 1997 » , je lui ai fait des promesses d’un poste établi jusqu’en 2010, concrétisées par ma décision de le nommer à un poste établi le 9/6/1999 ( Annexe 1 ) et par ma décision de le transférer au Département de la Paix, le 12/10/1999 ( Annexe 5 )

Il est entendu, comme je l’ai indiqué plus haut qu’en tant que Directeur général en exercice , investi de ces missions de la Culture de la Paix, qui ont été confiées à l’UNESCO et à moi-même , comme son Directeur général en exercice, qui se prolongent jusqu’en 2010, j’avais le pouvoir constitutionnel de faire des promesses à M.Nasrawin , reconnu comme fonctionnaire international compétent et dévoué au service des missions de la Culture de la Paix, de les concrétiser par sa nomination à un poste établi et son transfert au Département de la Paix ,avec mes promesses que son poste se prolonge jusqu’en 2010,tant que dure le projet pour lequel il a été nommé, pour assurer la continuité de ces missions.

22 ) ) Je prie le Tribunal de l’OIT , Tribunal du système judiciaire de l’ONU, de prendre ce fait nouveau en considération et de reconnaître ce droit à M.Nasrawin , fonctionnaire international dévoué et compétent de revendiquer un poste établi , qui reste toujours d’actualité jusqu’en 2010.

B ) L’actuelle administration de l’UNESCO a reconnu le contrat officiel de M.Nasrawin et son droit à un poste établi, qui se prolonge jusqu’en 2010

L’actuelle administration commet une illégalité criante et viole les résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU, de la Conférence générale et du Conseil exécutif de l’UNESCO :

23 ) En lisant les écritures de l’actuelle administration de l’UNESCO, devant le Tribunal de l’OIT, notamment   dans sa duplique devant le Tribunal du 27 juillet 2001 au paragraphe 23 (ii ) j’ai découvert un fait nouveau qui montre que l’actuelle administration avait reconnu, en me nommant par mon propre nom et en me désignant par mon propre titre de Directeur général en exercice de l’UNESCO , que j’avais fait des promesses à M.Nasrawin, concrétisées par sa nomination à un poste établi le 9/6/1999 (Annexe 1). Mais cette administration m’a dénié d’une manière illégale , injuste et abusive « le pouvoir constitutionnel »de faire telles promesses et de les concrétiser par mon mémo du 9/6/1999 ( (Annexe 1 ) , nommant M.Nasrawin à un poste établi,dans le cadre de ces missions de la Culture de la Paix , qui se prolongent jusqu’en 2010.


Cette administration dit dans sa duplique :« La promesse doit émaner d’une autorité compétente ou censée compétente pour la donner ;puisque le requérant (M.Nasrawin) allègue que cette autorité était M.Mayor,Directeur général, on pourrait admettre que cette condition soit remplie,encore faudrait-il que cette autorité se limite à ses pouvoirs constitutionnels ce qui n’est pas le cas en l’espèce ».


24 ) Je prie le Tribunal de l’OIT de reconnaître le droit de M.Nasrawin, qui reste toujours d’actualité à un contrat officiel de nomination à un poste établi, qui se prolonge jusqu’en 2010 :

L’actuelle administration a reconnu, par ce qui précède ( au N0.23 ) que j’ai fait des promesses à M.Nasrawin , concrétisées par ma décision de le nommer à un poste établi , par mon mémo du 9/6/1999 (Annexe 1 )

Elle reconnaît ainsi que mon mémo du 9/6/1999 est assorti des promesses et constitue au regard du droit administratif international qui régit la fonction publique internationale une décision de nomination officielle , souveraine et irrévocable à un poste établi .


Par ce qui précède l’actuelle administration reconnaît ainsi que M.Nasrawin avait le droit de l’obliger au nom du droit administratif international de l’obliger à mettre en exécution mon mémo du 9/6/1999 comme décision officielle , puisqu’elle reconnaît qu’il est assorti des promesses.
je confirme dans ce mémoire de vérité solennellement ces promesses que j’ai faites à ce dernier concrétisées par sa nomination à un poste établi le 9/6/1999 ( Annexe 1 ) qui se prolonge jusqu’en 2010 ( Voir aux N0s.10 à 21 plus haut) .


Ces promesses reconnues par l’actuelle administration, confirmées par moi-même ,entant que leur auteur sont confirmées par les faits de la procédure( 11 mémos ) et le Conseil d’Appel de l’UNESCO.( Voir N0s. 3 et 4 plus haut )


Voir la jurisprudence du Tribunal de l’OIT dans son jugement N0.782 ( Affaire Geiser ) au considérant 1 qui affirme clairement : « En vertu du principe de la bonne foi,le bénéficiaire d’une promesse a le droit d’en exiger le respect .Ainsi un fonctionnaire peut obliger l’Organisation dont il est l’agent à exécuter les promesses qu’elle lui a faites ».

Le Jugement 782 ,considérant 1 ajoute :  « En revanche peu importe que la promesse prenne telle ou telle forme,qu’elle soit écrite ou verbale,expresse ou implicite .L’auteur d’une promesse effective est contraint de tenir parole,même s’il s’est exprimé de vive voix ou si l’assurance qu’il a émise résulte simplement de sa manière d’agir ou des circonstances. ».


Suite à ce qui précède je prie donc le Tribunal de l’OIT d’obliger l’actuelle administration de l’UNESCO de reconnaître que mon mémo du 9/6/1999 constitue une décision officielle de nomination de M.Nasrawin à un poste établi, puisque je montre par ce qui précède que cette administration avait reconnu qu’il était assorti des promesses et par ce fait il constitue une décision de nomination officielle et irrévocable

25 ) Suite à ce qui précède l ’affaire Nasrawin se résume ainsi :

L’actuelle administration reconnaît que j’ai fait des promesses à M.Nasrawin qui ont été concrétisées par sa nomination à un poste établi, par mon mémo du 9/6/1999 ( Annexe 1 ) , qui se prolonge jusqu’en 2010.

Cette nomination dans le respect total des formes des procédures, dans le cadre des résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU.

Le seul problème qui se pose donc est que l’actuelle administration m’a dénié le pouvoir constitutionnel de faire telles promesses et de les concrétiser par la nomination de M.Nasrawin à un poste établi

26 ) Comme je l’ai montré par ce qui précède que mon pouvoir constitutionnel de faire des promesses à M.Nasrawin et de les concrétiser par sa nomination à un poste établi le 9/6/1999, qui se prolonge jusqu’en 2010 , m’a été conféré par mon statut de Directeur général en exercice , investi par les missions de la Culture de la Paix qui ont été conférées à l’UNESCO et à moi-même , depuis 1996, par plusieurs résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU , par l’intermédiaire du Secrétaire général de l’ONU et avec son engagement officiel , confirmées par des résolutions de la Conférence générale et du Conseil exécutif de l’UNESCO.
Voir aux paragraphes 9 à 12 et 19 ,20 et 24 plus haut

Ce déni donc de mon pouvoir constitutionnel constitue une violation flagrante et inacceptable de la part d’une Organisation du système de l’ONU, l’UNESCO, de ces résolutions de l’Assemblée générale.


27 ) Le Tribunal est prié de faire appel à une expertise internationale,dans le cadre de son Statut pour reconnaître le droit de M.Nasrawin à un poste établi jusqu’en 2010 :

Donc le refus de l’actuelle administration de l’UNESCO de mettre en application ma décision de nommer M.Nasrawin à un poste établi qui se prolonge jusqu’en 2010 , sous prétexte que je n’avais pas le pouvoir constitutionnel de le faire est illégale et ne peut être retenue.

L’affaire Nasrawin n’est pas donc seulement l’affaire d’un contrat de travail et d’une décision de nomination à un poste établi qui n’ont pas été respectées , mais ce qui est en cause à travers cette affaire ,c’est la crédibilité de l’Assemblée générale de l’ONU, des ses résolutions,de ses missions pour la paix dans le monde.

Ce qui est mis en cause aussi c’est la crédibilité de l’ l’autorité du Secrétaire général de l’ONU qui m’a confié ces missions.

Ce qui est mis en cause aussi c’est la crédibilité des missions si essentielles de la paix de l’ONU et de l’UNESCO pour notre monde , qui me conféraient le pouvoir constitutionnel de nommer des fonctionnaires internationaux , compétents et dévoués ,comme M.Nasrawin , pour assurer la mise

en exécution de ces missions et assurer leur continuité jusqu’en 2010 et qui m’a été dénié d’une manière illégale par l’actuelle administration dans l’affaire Nasrawin.


Il est incontestable du point de vue juridique et moral que je possède encore aujourd’hui au nom de la continuité de la fonction publique internationale et au nom du respect des ces missions de la Culture de la Paix,qui se prolongent jusqu’en 2010, le droit d’exiger de l’actuelle administration de mettre en exécution les promesses que j’ai faites à M.Nasrawin (qu’elle a reconnues ) et qui ont été concrétisées par sa nomination à un poste établi,par mon mémo du 9/6/1999 ( Annexe 1 ) et que M.Nasrawin a le droit de revendiquer jusqu’en 2010


J’invite donc le Tribunal de l’OIT, qui est un Tribunal du système judiciaire de l’ONU, de prendre toute sa responsabilité et de confirmer que j’avais en tant que Directeur général en exercice de l’UNESCO, investi de ces missions de la Culture de la Paix qui se prolongent jusqu’en 2010 , le pouvoir constitutionnel de faire des promesse à M.Nasrawin et de les concrétiser par sa nomination à un poste établi par mon mémo du 9/6/1999, dans le cadre de ces résolutions, qui se prolonge jusqu’en 2010

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