Lettre ouverte à Mme.Irina Bokova, Directrice générale de l'UNESCO

Lettre ouverte à Mme.Irina Bokova, Directrice générale de l'UNESCO

Honte à vous ,Mme. Bokova pour les scandales que vous avez étouffés dans mon affaire,qui salissent l'image de l'UNESCO et déshonorent le Tribunal de l'OIT
Par Adnan Nasrawin, Paris le 25.1. 2014

Voilà bientôt 14 ans que je me bats avec le soutien total et sans relâche de l'ancien Directeur général de l'UNESCO, M. Federico Mayor, contre les scandales et l'injustice, commis par votre prédécesseur, M. Koichiro Matsuura, dans une complicité totale et manifeste avec le Tribunal administratif de l'OIT, qui ont ravagé ma vie et celle de toute ma famille. Ces agissements commis par M. Matsuura dans l'exercice de ses fonctions engagent aujourd'hui d'une manière totale et directe votre responsabilité juridique et morale. Votre silence vous rend aujourd’hui complice.

Je vous accuse solennellement d'avoir validé et étouffé sciemment pendant votre premier mandat le comportement discriminatoire de votre prédécesseur, M. Matsuura, ainsi que celui du Tribunal administratif de l'OIT, à mon encontre concernant la perte de mon emploi dans la fonction publique internationale à l'UNESCO,en violation de deux articles 1 et 23 de la Déclaration universelle des droits de l'Homme.


Le comportement de votre prédécesseur, M. Matsuura, en complicité avec le Tribunal, à mon encontre a été dénoncé par la Ligue des droits de l'homme en France, par le Président du Syndicat du Personnel de l'UNESCO, par l'ancien Directeur général de l'UNESCO, M. Federico Mayor et par les médias, comme un acte discriminatoire à mon encontre, au regard de la Convention internationale, No.111 de l'Organisation internationale du Travail (l'OIT), concernant la discrimination (emploi et profession ) dans son article 1 b.


Il est à rappeler que l’article 1 b de la Convention internationale No.111 de l’OIT  dit clairement :
«  Aux fins de la présente Convention le terme « discriminatoire » comprend toute autre distinction, exclusion ou préférence ayant pour effet de détruire ou d’altérer l’égalité des chances en matière d’emploi ou de profession »

Je vous accuse solennellement d'avoir étouffé et validé pendant votre premier mandat, le scandale d'abus de pouvoir de votre prédécesseur, M. Matsuura, avec le Tribunal administratif de l'OIT. Ces derniers ont donné à l'article 4.3.2 du Statut du Personnel de l'UNESCO - qui était en vigueur jusqu'au 15 novembre 1999 - une interprétation fallacieuse, discriminatoire, erronée et maligne, afin de faire passer leur comportement discriminatoire à mon encontre devant l'emploi dans la fonction publique internationale.


Je vous accuse, avec des preuves matérielles et déterminantes, d'avoir abusé de vos fonctions et d'avoir validé et étouffé, sans scrupules et en toute impunité, pendant votre premier mandat, les scandales de falsification d'un document budgétaire et de production d'un faux et usage de faux, commis par votre prédécesseur, M. Matsuura ,dans l'exercice de ses fonctions, dans une complicité manifeste avec le Tribunal administratif de l'OIT. Ces agissements frauduleux ont conduit à m'évincer d'une manière illégale et frauduleuse de mon travail à l'UNESCO et ont par la suite ravagé à jamais ma vie et celle de toute ma famille.


M. Federico Mayor en sa qualité de Directeur général de l'UNESCO, lors des faits de mon dossier, auteur de mes nominations successives à l'UNESCO depuis 1997 et auteur du budget de l'UNESCO du 30 C/5 pour le Biennium 2000/2001, a révélé dans son mémoire qu'il vous a dressé le 17 décembre 2013 que le tableau budgétaire qu'avait produit son successeur, M. Matsuura, pour m'évincer de mon travail, sous prétexte que mon poste n'était pas dans le budget de l'UNESCO du 30 C/ pour le Biennium 2000/2001 « contrevient à la vérité ». Ceci sous-entend clairement qu’il était faux et usage de faux,commis dans mon affaire par M.Matsuura
Je vous accuse, Madame la Directrice générale de l'UNESCO d'avoir validé et étouffé pendant votre premier mandat le scandale de la complicité manifeste et avérée entre votre prédécesseur M. Matsuura et le Tribunal administratif de l'OIT, qui ont violé et bafoué sans scrupules et en toute impunité, mes droits fondamentaux, notamment mon droit de la défense et du jugement équitable

Je suis en possession des preuves matérielles et déterminantes, qui révèlent que le Tribunal administratif de l'OIT, sous la pression de votre prédécesseur M. Matsuura, a ignoré sciemment dans la procédure écrite de mon affaire, les 11 mémos de mon dossier et m'a privé ainsi de mon droit de défendre ma cause dans la procédure écrite en invoquant ces 11 mémos essentiels et déterminats dans on affaire avec l’UNESCO.

Il est avéré que le Tribunal, dans une complicité totale avec votre prédécesseur, M. Matsuura avait rejeté mes demandes d'organiser un débat public et oral sur mon affaire, qui est reconnu par la jurisprudence du Tribunal et par son statut. Il m'a ainsi privé de mon droit de défendre ma cause par ce débat public et oral, qui constitue selon l'article 10 de la déclaration universelle des droits de l'homme le fondement d'un jugement équitable.

De surcroit, M. Federico Mayor n'a pas été entendu par le Tribunal alors qu'il avait proposé à deux reprises de témoigner devant lui et de démontrer la légitimité de sa décision de me nommer à un poste établi le 9 juin 1999, avec mon droit protégé de le revendiquer jusqu'au mois de décembre 2010 au moins.
Pour toutes ces raisons, les jugements du Tribunal de l'Organisation Internationale du Travail en ma défaveur n'ont aucune légitimité juridique et ne peuvent se prévaloir de l'autorité de la chose jugée.

Quelle honte pour vous en votre qualité de Directrice générale de l'UNESCO,Organisation reconnue comme la conscience de l'humanité et championne de la défense des droits de l'homme, de vous abriter derrière les jugements rendus par le Tribunal administratif de l’OIT qui sont fondés sur la violation de mes droits fondament commis par votre prédécesseur M.Matsuura ,dans la complicité avec le Tribunal administratif de l'OIT,que vous avez étouffés par votre silence coupable et complice.

Je demande avec les personnalités qui ont soutenu mon combat: M. Federico Mayor, M. Stéphane Hessel, ancien Ambassadeur de France, M. Michel Rocard, ancien Premier Ministre de France, M. Noël Mamère, Député à l'Assemblée nationale, M. Pierre Lafrance, Ambassadeur dignitaire de France,M.Francis Lamand ,Avocat international,M.Antoine Basbous ,Directeur de l'Observatoire du Monde arabe,M.Arash ,juriste,éditeur,Me Maurice Buttin ,Avocat honorraire et d'autres personnalités, la constitution immédiate d'un audit international de vérité et de justice, extérieur et indépendant, pour examiner mon affaire et me rendre justice .

J'exposerai devant cet audit toutes les preuves en ma possession, qui confirment les scandales et l'injustice commis dans mon affaire,par votre prédécesseur, M.Matsuura ,dans la complicité avec le Tribunal et que vous avez étouffés pendant votre premier mandat d'une manière indigne d el'UNESCO et en contradiction avec le serment ,que vous avez prêté devant les représentants de 195 Etats membres de l'Organisation le 18 novembre 2013.

Adnan Nasrawin




Des personnalités signent la pétition demandant à l'UNESCO justice pour Adnan Nasrawin

Pétition avec signature


                                                                            Madame Irina Bokova
                                                                  Directrice générale de l'UNESCO
                                                               
                                                                                     Paris le 10 juillet  2013

                                                       Pétition

Madame la Directrice Générale,

Nous, soussignés, croyons devoir faire appel à votre sens de la justice et votre respect de la légalité pour le réexamen d'un cas particulièrement douloureux, celui de M. Adnan Nasrawin, citoyen franco-jordanien.
Ce juriste avait été choisi par un de vos prédécesseurs, M. Fédérico Mayor, pour le seconder dans le cadre du mandat confié à l'UNESCO par huit  résolutions de l'Assemblée Générale des Nations-Unies en vue de promouvoir, dans le monde, une culture de paix.
Afin de mener à bien cette mission dont l'importance est, plus que jamais, patente, M. Fédérico Mayor avait recruté M. Adnan Nasrawin  d'abord en qualité de consultant, en 1997, puis, comme membre du personnel à titre temporaire en 1998, et enfin comme titulaire de son poste en vertu d'un mémorandum du 9 juin   1999. Les 11 mémos du dossier  établis par le Directeur général Mayor confirent, sans aucun doute possible, qu'il a bien nommé M.Nasrawin  à un poste établi le 9 juin 1999,dans le respect du statut du personnel de l'UNESCO et des formes de procédure.
Le caractère progressif de ce recrutement, confirme pour qui en douterait ,qu'il a procédé d'une longue évaluation des mérites de l'intéressé et ne saurait donc être attribué à une quelconque faveur.
Le contrat prévoyait que ses fonctions seraient maintenues jusqu'en 2010.Cela est conforme à   un avis pertinent de la Cour internationale de Justice (CIJ) du 23 octobre 1956.
Or, cet agent a été démis de ces mêmes fonctions par un autre de vos prédécesseurs au motif qu'il les exerçait sans en avoir été régulièrement investi.
Le Conseil d'appel de l'UNESCO, aussitôt saisi, a reconnu que sa nomination a un poste établi s'était faite en toute régularité au terme d'un mémorandum du Directeur Général du 9 juin 1999 sur le fondement des seuls mérités de l'intéressé .Cela a été confirmé par ses notes professionnelle du 30 mai 1999 (niveau B).
Le même constat a été fait par le Président  du Syndicat du Personnel de l'Unesco le 6 mars 2005
L'affaire a été  portée en 2002 devant le tribunal de l'Organisation Internationale du Travail, qui a rendu son dernier jugement le 3 février 2011.
Ce Tribunal a jugé légale la décision d'exclure M. Nasrawin  de l'Unesco en arguant du fait que la rémunération de son poste ne figurait pas au budget de l'organisation pour le Biennium 2000/2001.
 Or, il s'est avéré que les documents budgétaires sur lesquels le Tribunal a fondé sa décision étaient incomplets. Non seulement, les 11 mémorandums signés par M. Mayor relatifs aux nominations successives de l'intéressé n'avaient pas été pris en considération, mais le tableau budgétaire produit devant les magistrats ne pouvait être le tableau du 30  /5 C dans son intégralité puisque le poste considéré portait déjà la cote budgétaire 20-2486oo-OPI dans le document relatif au mouvement du personnel de l'UNESCO, document présentant l'intéressé nommément désigné  comme titulaire d'un poste établi . Au demeurant, les cinq mémos établis par M.Federico Mayor et confirmant le recrutement de l'intéressé sur un poste personnalisé pour le Biennium 2000/2001n'ont été pris en considération ni par le Tribunal ni par l'administration de l 'UNESCO.
L'intéressé n'a pas été convié par les juges  à un débat oral ,public et  contradictoire lui permettant de défendre sa cause selon les règles de Droit. ( Article 10 de la Déclaration universelle des  droits de l'homme ).
De surcroit, M.Federico Mayor n'a pas été entendu par le Tribunal alors qu'il avait proposé de témoigner devant lui et de démontrer la légitimité de sa décision.
       Il y a eu notamment  violation du droit de la défense : Les 11 mémos du dossier de M. Nasrawin ont été ignorés  par les juges dans la procédure écrite. Son droit  de défendre sa cause dans cette  procédure écrite  en invoquant   ces 11 mémos n'a pas été respecté et ses demandes d'un débat public ont été rejetées. Enfin le Tribunal de l'OIT s'est écarté, sur plusieurs points ,de sa propre jurisprudence.
Pour toutes ces raisons, les jugements du Tribunal de l'Organisation Internationale du Travail en défaveur de M. Adnan Nasrawin  ne peuvent se prévaloir de  l'autorité de la chose jugée.

Nous avions constitué un collectif comprenant M.Stéphane Hessel pour vous exposer ce cas sous les angles moral et juridique  et nous vous avions adressé un appel  dont vous avez accusé réception le 27 novembre 2012.
Dès lors, et au nom du respect que vous avez exprimé pour M. Stephane Hessel, notre ami et compagnon de combat contre toutes les formes d'injustice, et qui avait pris fait et cause pour M. Adnan Nasrawin, au sein de ce collectif, nous vous prions Madame la Directrice, Générale de bien vouloir réexaminer au fond le cas de ce juriste et de nous communiquer vos conclusions qui, nous n'en doutons pas, contribueront à le confirmer dans ses droits et sa dignité.
 Nous proposons enfin de recourir, si nécessaire, à un audit international au terme duquel seraient éclaircis les points restés encore obscurs dans cette affaire, ceux notamment concernant les aspects budgétaires du dossier.
Nous vous prions d'agréer Madame la Directrice Générale, les assurances de notre haute considération.

Federico Mayor ( Ancien Directeur général de l'UNESCO )
Pierre Lafrance  ( Ambassadeur de France dignitaire )
Noël Mamère       ( Député )
Dr.Francis Lamand ( Avocat international, Président de l'Organisation internationale « Islam                          
                                    et Occident » )
Antoine Basbous ( Directeur de l'Observatoire des Pays Arabes )

Maurice Butin      ( Avocat honoraire )

Majed Nehmé       ( Directeur d'Afrique Asie )

Mgr.Jacques Gaillot ( Evêque de Partenia )

Arash Derambarsh    ( Editeur juriste )

Patrice Vermeren     ( Professeur de philosophie /Université Paris 8)

Christian Huteau      ( Ancien diplomate français )

Danielle Josselin        ( Ancien conseillère diplomatique de l'ancien Ministre français
                                    des Relations extérieures ,Claude Cheysson)

Me.Hacen Boukhelifa ( Avocat à la Cour )

Me.Danielle Lefevre     ( Avocat à la Cour )

Antoine Massy         ( Journaliste franco-libanais )

Pour la mémoire de Monsieur Stéphane Hessel


Communiqué d'Adnan Nasrawin : Pour la mémoire de Monsieur Stéphane Hessel

Madame la Directrice générale de l'UNESCO ,

Je vous demande de respecter la mémoire de Monsieur Stéphane Hessel, lui que vous avez qualifié dans votre communiqué du 27 février 2013, à la suite à son decès « d'un des plus grands défenseurs des droits de l'homme, ajoutant que « la force et la la clarté de sa vision de la dignité inhérente de l'homme restent une source d'inspiration pour nous tous aujourd'hui »,

M.Stéphane Hessel m'a soutenu dans mon combat contre l'injustice de l'UNESCO etsa complicité avec le Tribunal administratif de l'OIT. Il a concrétisé son soutien en cosignant le collectif international de soutien à ma cause au mois de novembre 2012.

Devant l'injustice de l'UNESCO et du Tribunal administratif de l'OIT,  ce collectif international, signé par M.Stéphane Hessel et par d'autres personnalités mondialement reconnues et respectées comme Michel Rocard, ancien Premier ministre de France, Federico Mayor (Ancien Directeur général de l'UNESCO), Pierre Lafrance ( Ambassadeur de France), Mgr.Jacques Gaillot (Evêque de l'Eglise catholique de France) et d'autres personnalités, vous demande la constitution d'un audit extérieur et indépendant de vérité et de justice pour examiner objectivement mon affaire m'opposant à l'UNESCO « pour que justice me soit rendue ,que mon honneur soit réhabilité et que l'immense injustice que j'ai subi avec toute ma famille soit réparée ».

Vous avez reçu le texte de ce collectif le 27 novembre 2012, mais, dans votre arrogance et votre refus de reconnaître la vérité et la justice dans mon affaire ,vous n'avez donné jusqu'à aujourd'hui aucune importance à son contenu et avez bafoué le respect dû aux personnalités qui l'ont signé et parmi lesquelles Monsieur Stéphane Hessel.

Vous ne pouvez pas en même temps écrire au nom de l'UNESCO que « la force et la la clarté de sa vision (de M.Hessel) de la dignité inhérente de l'homme restent une source d'inspiration pour nous tous aujourd'hui » et en même temps mépriser son engagement à mes côtés dans mon affaire qui concerne le respect de la justice et des droits de l'homme.

Madame la Directrice générale de l'UNESCO, permettez-moi de vous poser la question suivante : voulez-vous mettre en application la demande qu'a soutenue Stéphane Hessel pour la constitution d'un audit extérieur et indépendant de justice et de vérité pour examiner mon contentieux avec l'UNESCO. Oui ou non?

Adnan Nasrawin








Les personnalités qui ont signé le Collectif international en soutien à Adnan Nasrawin


Liste des Personnalités, qui ont signé le Collectif international suivant de soutien à Adnan Nasrawin dans son contentieux avec l'UNESCO dont les faits sont rappelés ici www.unesco-scandal.com :

Nous soussignés, soutenons l'appel lancé en date du 15 octobre 2012 par Monsieur Federico Mayor, ancien Directeur Général de l'UNESCO, demandant la constitution d'un audit international indépendant de vérité et de justice afin d'examiner objectivement l'affaire opposant Monsieur Adnan Nasrawin,citoyen français à L'UNESCO, pour que justice lui soit rendue, que son honneur soit réhabilité et que l'immense injustice qu'il a subie, lui et toute sa famille, soit réparée.

Federico Mayor (Ancien Directeur général de l'UNESCO)

Michel Rocard (Ancien Premier Ministre de France)

Stéphane Hessel (Ambassadeur de France,auteur du livre « Indignez-vous »)

Pierre Lafrance (Ambassadeur de France dignitaire)

Christiane Kamermmann (Sénateur, Président du Groupe d'amitié France-Jordanie au Sénat)

Mgr.Jacques Gaillot (Evêque de l'Eglise catholique)

Danielle Josselin (Ancien Conseiller diplomatique de Claude Cheysson,Ministre français des Relations Extérieures)

Antoine Basbous (Directeur de l'Observatoire des Pays Arabes)

Maurice Butin (Avocat honoraire à la Cour)

Hacen Boukhelifa (Avocat à la Cour)

Danielle Lefevre (Avocat à la Cour)

Houssam Julien Nasrawin (Président du club d'affaires Arab BusinessLeaders – Dubai)

Christian Huteau (Ancien diplomate - France)

Arash Derambash (Editeur et juriste)

Patrice Vermeren (Philosophe, Professeur de philosophie ,Université Paris 8)

Jean Michel Cadiot (Journaliste et écrivain)

Antoine Massy (Journaliste franco-libanais)

L'affaire Nasrawin contre Unesco dans le journal Le Monde


Le journal français «  Le Monde » révèle la position de M.Nasrawin, qui accuse l'ancien Directeur général de l'UNESCO, M.Matsuura d'avoir falsifié un tableau budgétaire et d'avoir produit un faux et usage de faux, afin de l'évincer de cette manière illégale et frauduleuse de son travail.

L'actuelle Directrice générale de l'UNESCO, Mme.Bokova fait tout pour couvrir ce scandale, commis par son prédécesseur et qui engage d'une manière directe aujourd'hui  sa responsabilité juridique et morale.


Le  journal français  « Le monde »dans son article sur l'affaire Nasrawin en date du 2 octobre 2012,a relaté la position de M.Adnan Nasrawin,ancien membre du Personnel,ancien  fonctionnaire à l'UNESCO, qui accuse l'UNESCO ( son ancien Directeur général M.Matsuura ) d'avoir falsifié un tableau budgétaire et d'avoir produit un faux et usage de faux,afin de l'évincer de son travail de l'Organisation sous prétexte que son poste personnalisé n'était pas budgété dans le budget de l'UNESCO pour le Biennium 2000/2001.

A travers cet article du journal Le Monde, l'opinion publique internationale est au courant de cette accusation très grave de M.Nasrawin contre l'UNESCO.


Adnan Nasrawin a relaté en détail au chapitre XI ,aux paragraphes 13 à 52 de son livre, intitulé  « Mon combat contre l'injustice de l'UNESCO et du Tribunal administratif de l'OIT », dont il a fini sa rédaction au mois de mai 2012,cinq preuves matérielles et déterminantes,qui montrent d'une manière qui ne laisse aucun doute  que l'ancien Directeur général des l'UNESCO,M.Matsuura  et son office des affaires juridiques ont bien  falsifié sciemment un tableau budgétaire de l'UNESCO du 30 C/5 et produit un faux et usage de faux à sa place ( Production 24 a ),avec dissimulation fraudueluse de 5 preuves, afin de l'évincer d'une manière illégale et frauduleuse de son travail, sous prétexte que son poste personnalisé n'était pas budgété dans le budget de l'UNESCO.

N.B. Le tableau budgétaire falsifié produit par M.Matsuura ( Production 24 a ),se trouve dans les annexes à la fin du livre de M.Nasrawin)



Fait nouveau:

L'ancien Directeur général M.Mayor, auteur du budget de l'UNESCO du 30 C/5 apporte dans son mémoire qu'il a adressé à l'actuelle Directrice générale de l'UNESCO, MMe.Bokova le 3 février 2012, concernant l'affaire Nasrawin les faits nouveaux essentiels avec 5 preuves matérielles et déterminantes ci-dessous,qui montrent que le tableau budgétaire ( production 24 a ),produit par son successeur,M.Matsuura, pour évincer M.Nasrawin de son travail était falsifié ,faux et usage de faux:


a ) M.Mayor a révélé dans son mémoire qu'il a adressé le 3 février 2012, à l'actuelle Directrice générale,Mme.Bokova,concernant l'affaire Nasrawin ( Voir  P.J.No.XI à la fin du livre de M.Nasrawin),que c'était lui en sa qualité de Directeur général en exercice ,qui a établi le budget de l'UNESCO du 30 C/5 pour le Biennium 2000/2001


b ) M.Mayor a révélé qu'il a bien établi le poste personnalisé de M.Nasrawin,dans le budget de l'UNESCO du 30 C/5 pour le Biennium 2000/2001,comme les autres fonctionnaires de l'Organisation.


C ) M.Mayor a produit dans son mémoire les 5 mémos ,qu'il a établis pendant qu'il était en fonction,qui confirment qu'il a bien établi le poste personnalisé de M.Nasrawin dans le budget de l'UNESCO du 30 C/5 ,pour le  Biennium 2000/2001

Le Directeur général Mayor a écrit dans on mémoire à Mme.Bokova du 3 février 2012 ce qui suit: «  Les cinq mémos établis par moi-même attestent que j'ai budgété le poste personnalisé de M.Nasrawin dans le budget du 30 C/5 pour le Biennium 2000/2001 »

( Voir la liste de ces 5 mémos dans la P.J.No.V,à la fin du livre de M.Nasrawin )


Le tableau budgétaire ( Production 24 a ) ,qu' a produit M.Matssura,comme preuve pour évincer M.Nasrawin de son travail  était un faux grossier

Ce qui précède révèle donc que le tableau budgétaire ( Production 24 a )  ,qu'a produit M.Matsuura ,pour évincer M;Nasrawin de son travail de l'UNESCO,sous prétexte que son poste personnalisé n'était pas budgété,dans le budget de l'UNESCO du 30 C/5, était un faux grossier,puisque M.Mayor,en sa qualité d'auteur de ce  budget de l'UNESCO du 30 C/5 pour le Biennium 2000/2001, a affirmé clairement  en citant,comme preuves les  cinq mémos qu'il a lui-même établis ,qu'il a bien établi le  poste personnalisé de M.Nasrawin  dans ce budget de l'UNESCO pour le Biennium ,comme tous les autres fonctionnaires de l'Organisation.


Mme.Bokova a couvert et validé par son silence ce scandale de son prédécesseur, M.Matssura dans l'affaire Nasrawin. Elle est aussi coupable de ce scandale.

M.Nasrawin considère que Mme.Bokova est entièrement responsable de ce scandale de falsification d'un tableau budgétaire ,de la production d'un faux et usage de faux d'un de faux et usage de faux ,commis par son prédécesseur, M.Matsuura dans l'exercice de ses fonctions.

Ce qui aggrave la responsabilité de l'actuelle Directrice générale, Mme.Bokova c'est qu'elle a couvert ce scandale par son silence. Le silence sur le scandale participe à ce scandale .Qui ne dit mot consent.


Mme.Bokova doit rendre compte de ce scandale, qui salit l'image de l'UNESCO, devant un audit international de vérité et de justice

La décision de M.Matsuura d'évincer M.Nasrawin de son travail était fondée sur un tableau budgétaire falsifiéé , sur un faux et usage de faux avec dissimulation de cinq mémos preuves.

M.Nasrawin demande l'annulation de la décision de l'UNESCO de l'évincer de son travail qui était fondée sur ce scandale.

Il est à rappeler qu'en France, pays hôte du Siège de l'UNESCO, ce scandale de faux et usage de faux, aggravé par l'abus de pouvoir est puni de 5 ans de prison ferme et de 225.000 euros d'amende.



Le Tribunal  administratif de l'OIT a validé ce scandale de falsification, de produiction d'un faux et usage de faux  commis par l'UNESCO dans l'affaire Nasrawin.

Aussi incroyable que cela puisse paraitre, alors que Adnan Nasrawin a dénoncé le scandale de la falsification et de la production d'un faux et usage de faux,commis par M.Matsuura et validé par l'actuelle Directrice générale de l'UNESCO, Mme.Bokova, le Tribunal administratif  de l’OIT n’a pas chercher à établir sa véracité dans ses jugements.

En passant sous silence cette accusation très grave, le Tribunal de l’OIT prouve qu’il était complice avec l'UNESCO et qu'il était  à sa solde dans l' affaire Nasrawin. Le silence du Tribunal sur ce scandale ,constitue bien une participation active à ce scandale

Le résumé de l'affaire sur Unesco-Scandal.com

Notre nouveau site Internet est disponible à l'adresse : http://www.unesco-scandal.com

La première page contient un résumé de l'affaire et explique comment vous pouvez nous aider à faire éclater la vérité. L'Unesco et l'OIT ne sont pas au-dessus du droit international et ces deux organisations doivent répondre de leurs actes.

Merci de votre soutien.

Federico Mayor demande justice pour M. Nasrawin à Madame Bokova


Madrid,  le 3 Février 2012



Madame la Directrice générale,



Je m’adresse à vous à propos du cas d’un de mes anciens collaborateurs, Monsieur Adnan NASRAWIN, de nationalité franco-jordanienne, qui s’est investi à mes cotés, à l’UNESCO, avec beaucoup de compétence et de dévouement, au service de la culture de la paix.



La nomination de M. Nasrawin n’a été pas reconnue par de l'administration de mon successeur, qui a abouti à l'évincer  à l'âge de 51 ans d'une manière illégale  de son travail de l'UNESCO après mon départ alors qu'il a été nommé par moi à l'UNESCO depuis 1997 et à un poste établi par mon mémorandum du 9 juin 1999 ( annexe 1 ),qu'il a eu le droit de revendiquer jusqu'au mois de décembre 2010.



M. Nasrawin vous a adressé au mois de décembre dernier le texte d'un « livre » qu'il a rédigé, avec tous les faits et documents à l'appui sur son affaire avec l'UNESCO et le Tribunal administratif de l'OIT.



Au chapitre I de son livre , M. Nasrawin a relaté en détail les 8 résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU, qui ont été votées à l'unanimité par les  Etats membres ,entre 1996 et le 6 octobre 1999. Ces huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU, comme vous le savez  ont confié depuis 1996 à l'UNESCO et à moi-même, avec l'aval officiel du Secrétaire général de l'ONU, le mandat de la culture de la paix, qui se perpétue jusqu'au mois de décembre 2010, avec l'accord de la Conférence générale et du  Conseil exécutif de l'UNESCO.



Les 11 mémos du dossier M. Nasrawin, relatés en détail dans l'ordre chronologique, dans son livre au chapitre III, aux paragraphes 1 à 19, avec documents officiels de l'UNESCO à l'appui, révèlent que j'ai fait appel à sa collaboration de M. Nasrawin pour travailler à mes côtés dans le cadre de la culture de la paix.



Comme le révèle M. Nasrawin, au chapitre III de son livre, aux paragraphes 1 à 4 , je l'ai nommé en 1997 à un poste de consultant avec mes promesses fermes et effectives qu'il aura ce poste et un travail continu jusqu'en 2010 dans le cadre du mandat onusien. Comme vous le savez, au nom du principe de la continuité de la fonction publique internationale et au nom du mandat concernant la culture de la paix, qui se perpétue jusqu'en 2010, j’avais le droit de faire telles promesses à M. Nasrawin , qui lient l'Organisation.



En 1998, comme M. Nasrawin a donné entière satisfaction dans son travail, je l'ai  nommé à partir du 1er janvier 1998 à un poste temporaire, membre du Personnel de l'UNESCO ( Voir au chapitre III, aux paragraphes 1 à 4 du livre de M. Nasrawin )



Par mon mémorandum du 9 juin 1999 (annexe 1), j'ai pris ma décision officielle de nommer M. Nasrawin à un poste établi pour qu'il continue l'excellent travail dans le respect du Statut du Personnel et des formes de procédure. Ma nomination, comme le révèlent ces mémos, était faite avec l'accord  des responsables des secteurs concernés et même sur leurs propositions.

(Voir chapitres III,  IV  et V du livre de M. Nasrawin).



Cinq mémos établis par moi-même et par les fonctions mes respectifs attestent que j'ai budgété le poste personnalisé de M. Nasrawin au budget du 30 C/5 de l'UNESCO pour le Biennium 2000/2001



Le Conseil d'Appel de l'UNESCO du temps de mon successeur, M. Matsuura, qui a affirmé dans son avis  en date du 4 décembre 2000  concernant l’affaire Nasrawin au paragraphe 84 : «The several steps taken and memos issued leave no doubt that the decision (nomination of Mr. Nasrawin of 9/6/1999)had to be implemented »



Je soutiens donc les faits et documents à l'appui qu'a révélés M. Nasrawin au chapitres VI et VII de son livre ,qui confirment que ma décision de le nommer à l'UNESCO depuis 1997 et à un poste établi le 9 juin 1999 et son droit de revendiquer un poste établi et un travail continu à l'UNESCO du 9 juin 1999 jusqu'en 2010, dans le cadre du mandat de l’ONU sur la culture de la paix  étaient légitimes et dans l'intérêt de l'UNESCO.



Comme le révèle M. Nasrawin aux chapitres IX à XXI  de son livre, l'administration l'a évincé de son travail après mon départ d'une manière in juste, illégale et arbitraire, sans prendre en considération les faits et les documents, que je vous ai exposés en résumé ci-dessus et que M. Nasrawin a relaté en détail aux chapitre I à VIII de son livre. Comme le révèle aussi M. Nasrawin aux chapitres IX à XXI, le Tribunal administratif de l'OIT a validé cette injustice, qui a brisé sa vie et celle de sa famille, aggravée par le décès de Mme. Nasrawin le 8 septembre dernier; qui constitue un drame supplémentaire pour M. Nasrawin et ses quatre enfants. Il est donc de mon  devoir de m'adresser à vous, vous priant que M. Nasrawin soit reçue dans votre cabinet et on procède à la réouverture rapide de son dossier.



Je vous prie de croire Madame la Directrice générale à ma plus haute considération.

Federico Mayor